Le sermon des hyènes
« Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose »
tel est le sermon que certains titres de la presse privée
semblent avoir fait pour nuire à Chakib Khelil et attenter à l’image de notre
pays.
Cela se vérifie chaque
fois que Chakib Khelil s’exprime, pour rétablir la vérité, sur les sujets qui
touchent à l’intérêt national et qui mettent à mal certains intérêts étrangers.
C’est ainsi que lorsque il
a souhaité éclairer l’opinion publique de notre pays sur la légitimité et le
bien-fondé de la TPE (Taxe sur les Profits Exceptionnels), en réponse aux
écrits tendancieux et irresponsables publiés dans la presse nationale et
étrangère, il a subi immédiatement un tir groupé de ces mêmes titres, proférant
des mensonges graves et des accusations gratuites.
Mais cela n’est pas nouveau !
En effet, depuis les
débuts de la décennie 2000 qui ont vu la mise en œuvre de réformes pour la
modernisation des secteurs des mines, de l’électricité et des hydrocarbures,
ces titres (essentiellement El Watan, El Khabar, le Matin d’Algérie, Liberté)
avaient fait le sermon de critiquer et de dénigrer toutes les actions de Chakib
Khelil qui s’inscrivaient dans une
stratégie de croissance soutenue de ces secteurs stratégiques.
Pour quels desseins s’étaient
ils ligués contre les progrès qui se faisaient? Chakib Khelil n’avait pas de
réponses en ces moments-là !
Mais leur acharnement
maladif, qui s’est intensifié depuis 2010 pour fomenter et entretenir un projet
de destruction de sa notoriété, affaiblir Sonatrach, tétaniser ses cadres et altérer
ainsi le prestige de notre pays, allait enfin nous éclairer sur leurs sombres
desseins.
Ceci dit, en publiant le
25 juillet sa vidéo sur la TPE, son seul souci était de rétablir la vérité en éclairant
l'opinion publique qui subit ce rituel matraquage médiatique dont excelle cette
presse influente mais minoritaire pour démoraliser nos concitoyens.
Pourquoi cette violente attaque contre la personne de Chakib
Khelil, le jour même de la parution de sa vidéo sur la TPE ?
Le contenu de son propos au sujet de la TPE appliquée en Algérie
depuis 2006 ne fait pourtant que rappeler les faits et relever l’attitude de
certaines compagnies étrangères, vis-à-vis de la TPE et de leur partenariat en
Algérie : il a cité Anadarko,
Maersk, ENI, CEPSA, GAZ NATURAL, REPSOL et TOTAL.
Ces attaques, savamment orchestrées et qui occupent la Une de ces
porte-paroles attitrés et relais des médias d’outre-mer (Le Monde, Le Point, Monde Afrique, TSA), s’inscrivent dans le cadre
de la campagne menée depuis peu et qui consiste à faire croire à l’opinion
publique nationale « le manque d’intérêt des sociétés françaises pour
investir en Algérie » ; cela même au moment où le gouvernement vient
de faire adopter une nouvelle loi plus attractive pour encourager
l’investissement et le partenariat étranger en Algérie !
Cette campagne virulente ne s’arrête pas là :
SONATRACH est alors attaquée sur, je cite, « son
incompétence » à faire face aux défis qui s’imposent à elle dans le
secteur des hydrocarbures. Alors que notre compagnie a toujours su relever les
plus grands défis, à commencer par ceux de la gestion et de l’exploitation des
installations pétrolières et gazières au lendemain des nationalisations du 24
février 1971.
Le nom de Chakib Khelil et les membres de sa famille, matraquées
continuellement par cette presse pitoyable, sont associées pêle-mêle à toutes
ces « affaires » préfabriquées, que ce soit en Algérie ou à l’étranger.
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » dit l’adage. Et c’est exactement ce que cette presse à
sensation s’évertue à livrer comme messages mensongers à nos concitoyens qui
commencent à comprendre ce qui se passe et à s’apercevoir aujourd’hui où est la
vérité, en témoignent les milliers de soutiens et d’encouragements qui
parviennent a Chakib Khelil quotidiennement de la part des jeunes et des moins
jeunes citoyens, des associations religieuses,
professionnelles, universitaires, etc.
Depuis son retour au pays le 17 mars 2016, Chakib Khelil a tenu
à répondre sans détours à toutes questions, et même aux allusions, qui ont
porté sur les prétendues implications de sa personne ou de sa famille dans
toutes ces « affaires», mais il n’y a jamais eu de preuves sur tout ce qui
a été rapporté par ces mêmes titres a scandale.
Cette stratégie maléfique de ces titres à scandale, qui hantent
impunément l’espace médiatique national, n’a plus d’effets sur l’opinion
publique algérienne car nous assistons de plus en plus à une prise de
conscience accrue de nos concitoyennes et de nos concitoyens, jaloux de l’indépendance
du pays et des intérêts économiques de l’Algérie.